Réalisée auprès de 600 cadres dirigeants d’ETI et de grandes entreprises, l’étude révèle un environnement jugé de plus en plus instable, marqué par la multiplication des risques. Les dirigeants identifient en priorité les cyberattaques, les risques RH (santé mentale, attractivité, pénurie de compétences) et les risques économiques et financiers comme les menaces les plus critiques pour les années à venir.</p> <p>Loin de subir, les entreprises se mobilisent : mise en place de formations, adaptation des politiques de recrutement, création de comités dédiés et élaboration de plans de gestion de crise. Une véritable culture du risque s’installe progressivement, même si des marges de progression persistent, notamment dans l’anticipation et la préparation individuelle.<br /> Face aux risques, les organisations font d’abord confiance à leurs propres équipes – DRH et DSI en tête – et regrettent le manque de soutien des acteurs externes. Une large majorité appelle à davantage de coopération interentreprises pour renforcer la résilience collective.<br />